
Après la qualification d’Emmanuel Macron au second tour de la présidentielle, l’ensemble des milieux d’affaire, financiers et des institutions européennes a poussé un grand soupir de soulagement. L’élection du jeune ancien ministre paraît non seulement probable, mais même pratiquement assurée - non assurée quoi qu’il en soit vont jusqu’à dire plus d’un.
Or la stratégie politique de Marine Le Pen est claire, les fragilités de son adversaire également, et si la fenêtre d’opportunité pour l’élection cette année de la première présidente de la République est étroite, elle est bel et bien ouverte.