Bruits et discours de guerre, postures martiales et coups de menton, et surtout l’intérêt évident de Washington à en déclencher une, et tant d’illusions sur les conséquences possibles.
Fred Reed, ancien combattant au Vietnam et mutilé de guerre, exprime de manière convaincante et percutante ses inquiétudes pour son pays, dirigé qu’il est par « les néoconservateurs et le Kaiser Donald », en même temps qu’il laisse voir une lassitude de l’empire et des aventures guerrières de mieux en mieux partagée parmi les Américains.