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Lors du vote sur le Brexit comme lors de la présidentielle américaine, les sondages fort décriés permettaient pourtant bien de discerner l’incertitude du résultat. Ce n’est pas la méthode du sondage qui fut fautive, mais bien leur interprétation par des commentateurs trop inattentifs qui amena trop de médias à s’imaginer quasi-certains refus du Brexit comme élection de Hillary Clinton.

Cette fois-ci encore, il faut examiner les sondages de près pour qu’apparaisse le véritable rapport de force. Macron et Fillon sont en réalité au coude-à-coude, Le Pen domine largement chacun d’eux, et l’identité de son adversaire de second tour reste fort incertaine...